mercredi 28 juin 2006

[BHM/Orkh-Wrag] Les deux Sylvastags

Garekh féliciter lui. Chef va être content. Gorkhik et lui avoir trouver belles proies, gros cochons dans petite ferme. Eux prendre seulement quatre et tuer personne. Eux sûrs, ça pas poser problème. Mais ferme être loin terres de clan et nuit tomber avant que eux rentrer dans clan et faim venir, alors eux camper et manger jambons d’un cochon.

Eux pas d'accord sur comment manger et se battre. Garekh encore avoir oeil douloureux et bras sanglant, mais lui vainqueur. Gorkhik être en colère et partir tout sanglant manger jambon cru dans forêt. Garekh avoir, lui, planter viande sur bâton et fait feu. Cochon être meilleur grillé, mais Gorkikh refuser de comprendre ça, car lui trop archaïque. Lui aimer violence, tuer et prendre femmes. Garekh avoir même empêcher frère de lui de faire massacre dans ferme et lui avoir rancoeur pour ça.

Garekh prendre viande fumante et mordre dedans. Goût être délicieux et viande être tendre. Lui avoir choisi bons cochons, bien juteux. Lui avoir jus sur tout le visage lorsque lui avoir nettoyer bâton et os, mais lui plus avoir faim. Par contre, grande soif est sur lui. Alors lui attraper outre de bière. Bonne bière, ça être bière de Bons, pas pipi de cerf pour humains. Ca donner coeur pour le combat avant bataille et ça donner coeur joyeux après. Lui boire l’outre en quelques gorgée.

Garekh avoir envie dormir, mais lui devoir attendre retour de Gorkhik pour pouvoir fermer yeux. Falloir protéger camp et cochons. Si lui dormir, ça pas possible. Mais inquiétude commencer à être sur lui. Petit frère être rancunier mais lui aurait déjà devoir être de retour. Ca inquiéter Garekh.

Alors que lui penser ça, herbes se mettre à bruire. Mais pas être petit frère arriver, personne avec grand manteau et grand chapeau et masque sur visage. Lui avoir peau verte, mais lui être maigre. Lui pas Bon, lui éclaireur bâtard.

‘Etre belle nuit,’ dire arrivant dans orkham parfait.

‘Ca être,’ répondre Garekh. ‘Moi avoir bon feu pour arrivant. Si toi vouloir, moi pouvoir griller cochon.’

‘Ca être fort civil, mais moi chercher autre type de proie.’

Eclaireur approcher. Lui avoir grosse gibecière à ceinture. Grosse touffe de poils longs en dépasser, poils tressés avec petits os dedans, comme aimer Gorkhik. Lui avoir tué petit frère. Lui devoir être vengé. Garekh tendre main vers hache mais bâtard être plus rapide et lancer dague.

‘Toi pas penser à ça,’ hurler lui.

Dague traverser main et planter dans sol. Brûlure envahir main. Dague être empoisonnée. Garekh vouloir forcer et se lever, mais carreau planter dans coeur et corps devenir complètement engourdi. Carreau aussi empoisonné. Poison est arme de lâche, mais éclaireurs être armée de lâche. Eux jamais combattre comme vrai Bons. Eux être seulement bâtards, humains à peau verte se prenant pour elfes.

Garekh sentir très fatigué. Poison être puissant. Lui presque plus rien voir ni entendre. Dernier chose lui entendre être rire sadique de bâtard. Dernière chose lui voir être éclaireur approcher, grand couteau dentelé en main, encore rouge de sang de Gorkhik.

[BHM/Orkh-Wrag] L'emeute de Swampil

Cette histoire aurait pu commencer avec l’ouverture de 1812, si Tchaikovsky avait existé en ce monde. Cependant seules les notes et mélodies étaient manquantes, les autres partitions étaient bien présentes en cette nuit dans la cité de Swampil. Les cloches sonnaient à tout va, des cris comme autant de choeurs s’élevaient aux quatre coins de la ville, incendies, explosions et canonnades illuminaient les rues, rendant l’astre nocturne obsolète. Quant à l’apogée, c’était celui de la haine, du raciste ordinaire porté jusqu’au point d’ébullition.

Comment tout cela avait-il débuté ? Personne ne devait vraiment le savoir et personne ne devait vraiment s’en préoccuper. Swampil, à l’instar des autres cités d’Orkh-Wrag, était un composite de communautés humaines et orques, lesquelles avaient souvent du mal à cohabiter sans frictions. Le moindre événement, même le plus trivial, pouvait suffire à mettre le feu aux poudres. Que deux ivrognes aient des mots et que l’un finisse par tuer l’autre, et voilà qu’une série de vendetta ensanglantait les rues. Si un problème de ravitaillement venait à se présenter chez l’une des races, l’autre en était inévitablement jugé responsable. Cela sans évoquer les innombrables conflits d’ordre culturel et cultuel.

Les émeutes étaient donc monnaie courante, bien que cela fût la première fois qu’elles prenaient une telle ampleur. Généralement elles se cantonnaient à quelques quartiers, mais cette nuit-là, la fièvre des barricades avait contaminé toute la ville.

L’armée, une fois de plus, allait devoir ramener l’ordre. Après, peut-être, se préoccuperait-elle de trouver la source de cette flambée de violence, soupirait le commandant du fort nord, en pénétrant dans la ville. Il avait, une fois de plus, fait sonné le tocsin en pleine nuit, revêtu son armure, enfourché son cheval, et avant d’abaisser sa visière, donné l’ordre le plus impopulaire, mais le plus nécessaire, qui soit : écraser les insurgés, quelle que fût leur race. Avant l’aube, les rues devraient de nouveau être sous contrôle.

Pas plus que leur supérieur, les soldats n’avaient le coeur léger de quitter les murailles pour accomplir leur triste besogne. ‘Maintenir la paix de peuples’ était leur prime mission, mais trop souvent, comme cette nuit, ils devaient le faire au détriment de ces mêmes peuples. Pour rétablir l’ordre, ils n’avaient d’autre choix que de briser les barricades et mater les émeutiers. Tache simple si on suivait le règlement militaire à la lettre, qui voulait, en prévision de ce cas de figure, que les relations entre troupes et civils soient les plus réduites possibles. Mais pouvait-on vraiment vivre auprès de personnes sans se lier à elles ? Ceux, que leurs épées faucheraient dans les temps à venir, n’étaient pas des étrangers, mais bien des connaissances, dont le principal tort était d’être atteints de cette rage, qu’était le racisme poussé à son paroxysme. Eux-mêmes n’étaient pas exempts de ce mal, mais qui l’était à Orkh-Wrag ? L’armée leur avait appris à passer outre les préjugés, mais sans cela, nombre d’entre eux auraient pu se retrouver du mauvais coté de l’épée. Même les vétérans, pourtant rodés aux émeutes et aux mutations dans d’autres cités, qui les suivaient irrémédiablement, ne pouvaient cacher leur appréhension face à la situation.

Mais tout cela disparut, lorsque, boucliers en avant et lames au clair, ils chargèrent les insurgés, opposant la furie guerrière à la rage. Les derniers sons, qu’ils perçurent avant de sombrer, furent les tocsins des trois autres forts, annonçant que leurs troupes étaient porteuses des mêmes ordres.

Et les premiers, qu’ils entendirent en reprenant conscience, étaient les gémissements des mourants, insurgés et militaires, gisant sur la chaussée.

Dans le ciel, Brah était bien installé, l’aube était passé depuis longtemps. Quiconque regardait autour de lui n’avait pas l’impression que l’astre diurne avait remplacé sa rouge soeur, mais qu’il avait fait fondre Brahsala en un épais liquide visqueux qui s’était répandu sur Swampil. Où que l’on regardât, on ne pouvait échapper à la vision de sang et de cendres.

Le calme était revenu, mais à quel prix ? La ville était pour moitié réduite à l’état de ruine, les cadavres se comptaient déjà par centaines, bientôt rejoints dans la mort par les innombrables mourants et grièvement blessés, maints soldats, une fois soignés, resteraient invalides.

Même le commandant du fort nord ne s’en était pas tiré indemne. Sa monture avait péri dans une embuscade, les jambes brisées et la gorge tranchée. Sa cheville droite, qui s’était retrouvée coincée sous la bête, le faisait claudiquer. Ses bras pendaient le long du buste, l’un, nu, couvert de sévères brûlures, l’autre paralysé par la tête d’une lance traversant de part en part son épaule. Et sa vision était obscurcie par le sang coulant de son arcade, résultat d’un coup ayant brisé son heaume. Mais tout cela n’était que blessures sans gravité, que les médecins aurait tôt fait de faire disparaître. D’ici, quelques jours, il ne resterait que des cicatrices, nouveaux souvenirs gravés dans les chairs qui en portaient déjà tant.

Les plaies, qui le préoccupaient, étaient celles de Swampil. Les rues étaient pacifiées, mais la paix était-elle revenue pour autant ? La dure période de la reconstruction commençait maintenant. Nettoyer le sang des rues, élever de nouveaux bâtiments sur les ruines encore fumantes, empêcher les résurgences de violence, mettre à jour les contingents, honorer les morts et réaffecter les vivants, et comprendre comment cela avait pu arriver afin de pouvoir calmer les esprits.

Cette dernière tache était de loin celle qui l’inquiétait le plus. Trouver l’origine d’une émeute n’était jamais une sinécure, tant il existait de raisons pour de tels embrasements. Cette fois ne dérogerait pas à la règle, même si certains détails lui donnaient la certitude que les événements de la nuit étaient plus qu’une simple insurrection. Sa taille, tout d’abord. Trop de foyers de révolte étaient apparus simultanément pour que cela puisse relever de la simple coïncidence. Pas plus que l’organisation des insurgés. Nombre de barricades s’étaient révélées être des traquenards, où des soldats pourtant expérimentés étaient tombés, sans pouvoir se défendre. Lui-même avait failli succomber dans un de ces pièges. Et il y avait les mages. Eux, réputés pour éviter ce genre d’affrontement, avaient été omniprésents, tout comme d’étranges figures en robes bleu-nuit, que l’on avait retrouvées mêlées à toutes les races.

Cela lui donnait la désagréable impression d’être face à un complot. S’il était dans le vrai, et même s’il avait tort, il devait prendre de toute urgence certaines dispositions.

Prélude à (ma) chute

Seulement deux !!! Il y a seulement eu deux personnes pour m'avoir fait rermarqué que je n'avait pas poster de texte cette semaine... Bouuuuuuuuuuuuuuuuuh c'est nul ! On peut vraiment pas compter sur les gens ! XD

L'année dernière, pour une session estivale, j'avait ecrit une serei de short-short stories, mais cette année, j'ai décidé de passer un cran au dessus: Un long-shot !!!! Cela va être un bon défi, vu que cela fait des années que je m'y essaye sans y parvenir, mais en feuillonnant, cela devrait être possible, je l'espère...

So close your eyes (non ouvrez-les sinon cela ne va pas être pratique pour lire.) et imaginez une nuit calme, sous une lune rouge (elle l'est toujours) lorsque éclate la musique !


REVENGE FOR MY CHILDREN AND MY BELOVED !

dimanche 18 juin 2006

[GoDDamn City] Rencontre nocturne à GoDDamn City.

Le sergent Wilbur mit en joue l'homme, qui, effrayé, voulut s'enfuir. Mais le policier n'eut qu'à effleurer la détente pour que sa tête explose telle une pastèque. Les nouveaux fusils, dont Zantafio avait doté ses troupes, étaient efficaces, bien trop, à mon humble avis.
Qu'avait fait le contrevenant pour être ainsi sommairement exécuté ? Rien ! Il marchait tranquillement, mais pour son malheur, il avait croisé cet officier, qui s'ennuyait.
Je ne vais pas pleurer sur ce corps. Ce n'était pas un saint. Antoine Painrape, membre d'un gang qui confondait femme et sac de frappe et ne s'embarrassait pas de leur consentement pour coucher avec elle. Les rues s'en porteraient bien mieux sans lui, mais ce n'était pas une raison pour que la Camarde l'embrassa ainsi.
Le sergent Wilbur ne comprit probablement pas ce qui arriva par la suite. Il vida son chargeur sur la forme noire qui fondit sur lui. Si le fusil était parfait pour faire exploser le crane des quidam, il semblerait qu'il fût moins efficace contre un ange de la vengeance. Je ne m'en étais pas tiré indemne certes, mais ces quelques blessures n'étaient rien comparées aux lignes rouges dessinées par mes griffes dans la gorge de ma victime. Il n'avait pas encore expiré que mes ailes m'avait de nouveau ramener sur le toit du gratte-ciel, du haut duquel je veille sur GoDDamn City et auxiliairement où j'attends mon contact.
J'avais attaqué le policier sur un coup de tête, mais je n'avais pu me retenir et un agent de Zantafio Tartagueule de moins, c'est toujours cela de pris !
Excusez-moi, je manque à tout mes devoirs. Je ne me suis pas encore présenté. On me nomme ArChangel, justicier protecteur de la ville pour certains, ennemi public numéro un selon d'autres, juste une personne éprise de justice et de liberté, dévorée par la douleur et le besoin de vengeance, si vous voulez mon avis.
Vous ressemblez vraiment à une gargouille,’ fit une voix dans mon dos. Exxora, une prostituée sous la coupe de Roger HottyPants, le proxénète le plus puissant de la ville. Je l’avait senti arriver depuis quelques minutes déjà. Elle portait sa cascade de feu en un chignon qui mettait en valeur ses yeux de jade. Sa robe était simple et, chose dont je lui suis gré, elle avait fait disparaître toutes traces de stupre de son corps.
Mais elle n’avait pas tort. Sous la lueur de Diane, - Ô belle Diane, ma confidente, mon amie – on pouvait facilement me confondre avec les statues qui constellaient les façades des bâtiments. Ailes de corbeau dans le dos, mains et pieds griffus, corps pourpre couvert de veines vermeilles, tête chitineuse aveugle couronnée de cornes, je suis un monstre.
Vous est en retard, Miss,’ me contentais-je de répondre.
Mister HottyPants voulait faire une inspection de son business,’ expliqua-t-elle. ‘De manière approfondie.’
Pas la peine qu’elle en rajouta, j’avais bien compris ce qu’elle voulait dire, mais cela ne me concernait pas ou du moins, je ne pouvais rien y faire. Tout ce que je voulais pour l’heure, c’était les informations qu’elle m’avait promises. Bien que sa profession me rendait malade, je ne pouvais que reconnaître sa nécessité à l’hygiène publique, même si je trouvais les belles de nuits de plus en plus omniprésente dans les rues de GoDDamn City, et son utilité pour la lutte contre les diables du genre de Zantafio Tartagueule et de Roger HottyPants.
Les données, ce soir-là, concernaient le nouveau complexe de traitement de kryptonium installé dans les quartiers ouest de la ville. On avait beau nous vanter cette énergie comme renouvelable et propre, je m’en méfiais au plus haut point, probablement parce qu’elle était contrôlé par Zantafio, et que son âme, plus noire que celles de Lucifel et Belzebuth réunis, est incapable d’un quelconque acte altruiste. J’étais certain que le nain nous cachais quelque chose et j’étais bien décidé à découvrir quoi. Dès le lendemain, j’irai voir ce qui se passait là-bas, à moins d’y envoyer quelques uns de mes agents.
J’ignorais comment elle avait obtenues tout cela, ou plutôt je n’avais pas envie de le savoir, mais le dossier était des plus complet : Plan du complexe, codes de sécurité, fiches de personnel. Tout cela auraient donné lieu à un épais dossier, si cela avait transcrit sur papier, mais les progrès avaient réduit cela tout cela à une disquette tenant au creux de ma paume. Je me demande comme faisaient les super-héros avant la miniaturisation des supports de données. Avez-vous, personnellement, déjà vu un héros avec des poches ? Et se déplacer avec une sacoche, ce n’est pas des plus esthétiques et veuillez me croire, le style importe autant, si ce n’est plus, que les pouvoirs pour la réputation d’un super-héros.
Le disque serré dans mon poing, je n’avais plus de raison de rester. Pour notre sécurité respective, il était préférable que l’on ne s’attarda pas trop ensemble et risquer d’être vu. Pour elle, cela signifierait la découverte de son statut d’agent de la Liberté et donc une mort immédiate. Pour moi, ma réputation aurait été quelque peu altérée si on avait su que je fréquentais des courtisanes. Certes il n’y avait rien entre nous, même si je l’avais connu, en un autre temps, un autre lieu et sous un autre nom. Un coup fourré de HottyPants, qui me l’avait mise dans les pattes, ce fut la seule fois que j’ai abusé de la confiance de S. Les charmes d’Exxora étaient tels qu’il m’avait été impossible de leur résister, aveuglé, que j’étais alors, par la douleur.
Je fis une révérence pour prendre congé et me laissa tomber dans le vide. Je restais ainsi quelques secondes, dos tourné vers le sol, laissant le vent m’envelopper avant de déployer mes ailes et de prendre mon envol. Pure fanfaronnade de ma part, à mettre sur le compte de cette attirance malsaine que je pouvait ressentir pour la belle de nuit.
En quelques coups d’ailes, je m’étais fondu dans la voûte céleste et put rejoindre, sans crainte d’être aperçu, le quartier de Daemon’s heights, au nord de la ville. Havre de paix, hors du contrôle de Zantafio, de Mister HottyPants et leur alliés, dominé par le manoir Bondouffle.
Je me glissais dans le bâtiment par la porte-fenêtre de la bibliothèque du troisième étage restée ouverte. La rotonde et ses vieux livres réveillèrent de vieilles peurs et des douleurs trop vives. Mes hurlements durent résonner jusqu’aux sous-sols. Je me retrouvais à genoux à lacérer les dalles pour faire taire la souffrance, mais elle alla grandissante. Mes griffes se brisèrent sur le marbre froid. Mes ailes se tendirent à l’extrême comme si des crochets s’y étaient plantés et tentaient de me les arracher. Mon corps fut pris de spasmes. Et je perdis conscience.
Lorsque je revins à moi, je baignais dans un mare de mon propre sang, lové dans du fil barbelé. Un homme d’un cinquantaine d’année se tient au dessus de moi, un peignoir en main.
‘La nuit a-t-elle été particulièrement violent, Sir ?’ me demanda-t-il, m’aidant à me lever.
‘Non, Aurelianus,’ dis-je, enfilant le vêtement qu’il me tendait. ‘J’ai été seulement surpris par la violence de la métamorphose.’
Je récupérais la disquette couverte du sang coagulé, en espérant qu’elle fonctionnerait encore, avant de suivre mon majordome pour prendre mon petit déjeuner. En passant, mon regard croisa une vieille photo, du temps du bonheur, d’avant la prise de pouvoir de Zantafio. Lady Sabrina et nos deux fils, Nathanaël et Donatien, riaient entourant un version de moi-même plus souriante et bien moins fatiguée que maintenant.
Je ne suis pas certain qui vous aimeriez ce que je suis devenu, ce monstre dévoré par la haine et le chagrin, mais je vous jure, à vous que j’ai aimé plus que j’avais aimé quiconque, que je vous vengerai. Alors j’enterrerai ArChangel au plus profond de moi, et ne resterai plus que Lord Uriel Bondouffle.

Introduction

Cela peut paraître idiot d'écrire un introduction à ce blog après avoir déjà écrit un post, mais je ne suis pas quelqu'un de très logique. ;p
Donc Brahmanda va me servir à publier mes ecrits, normalement basés sur le monde de Brahmanda. Mais il m'arrivera inévitablement de deriver vers d'autres univers. Mais surtout il faudra que je poste au moins une fois un texte par semaine, ici. Il y aura probablement aussi des informations sur les mondes de mes histoires, mais ce qui compte, c'est ce texte hedbomadaire..
Si je venais à manque à cette règle, vous aurez le droit de me fustiger, de me lapider, de me fouetter, de me torturer, etc... (vous avez compris le système.)
Comme j'ai certaine reserve de texte, je pourrais puiser dedans, il est vrai, mais ce n'est pas le but, qui est de me remettre sur des bonnes rails et de me remettre serieusement à écrire. Donc si je venais à être pris en faute, vous pouvez considéré que c'est comme si je n'avais rien posté.

Regle simple, n'est-il pas ? ;-)

vendredi 16 juin 2006

Brahmanda, kesako ?

Star Tales, souvent abrégé en ST, est le principal projet du Studio Scythe. se basant sur l’immense monde de Brahmanda, originellement de pure fantasy.

Je suppose que je pourrais vous le présenter par un long monologue, mais cela serait fastidieux. Alors venez avec moi et faisons un petit tour sur Brahmanda.

Que voulez-vous faire tout d’abord ? Une bataille de boule de neige dans les steppes glacées de Kralia ? Un bain de soleil dans le desert, au sud de Nâgâ ? Une chasse au tigre dans les bambouseraies à Prama ? Une petite gigue avec des dryades à Australa ? Ou simplement un verre d’un bière fraichement brassée et un tranche de viande rôtie dans une taverne de Lera ?
Le dernier choix ? Un lieu parfait pour une petite discussion sur Brahmanda.
Que voulez vous savoir sur Brahmanda ? C’est une immense terre entourée par des océans et de hautes montagnes, divisée en cinq continents et de nombreuses nations. En comptant, les nations sous-marines et celles des îlots célestes, il doit y en avoir aux environs de 130, je pense. Et chacune ayant ses propres populations, croyances, traditions, systèmes politiques, histoires langues ou même niveau technique.
Tant de merveilles à voir et de gens à rencontrer en si peu de temps ! Nous pourrions rendre visite aux Anges de Talémon ou plonger dans les profondeurs de Prambal, en priant de ne pas croiser les
hommes-poissons autochtones . Apres cela nous pourrions prendre le thé avec les samouraïs elfiques et naniques de Yonpongatana ou discuter philosophie avec les aristocrates orquains d’Orcarionie. A moins que vous vouliez ces êtres plus originaux, maîtres de leurs propres terres, comme les Kors, des centaures au buste d’orque et au corps de taureau, les Ilbaruks, les marins homme-loups blanc du continent kralian, ou les Magnixus, les maîtres non-mort d’Isionis.
Peut-être voulez-vous en savoir pourquoi tous les calendriers de Brahmanda prennent comme point de départ un événement vieux de 1812 ans ? ou pourquoi un métal noir et un cristal rouge sont-ils les biens les plus précieux qui soient ? ou encore un des multiples mystères de ce monde, où la magie coexiste avec coexiste avec des technologies préindustrielles, ou épée et dague sont les arme les plus communes dans leur grande diversité, des lames d’obsidienne à la pureté du tranchant des katanas, en passant par les épées larges et longues, les rapières et même les baïonnettes.

(Oui, ce premier message est un simple copier-coller de la présentation que l'on pourrait trouver ici, mais je la trouve suffisamment bonne pour ne pas avoir à la modifier. De surcroît, je présente Brahmanda, qui n'a pas changé, et non pas le Studio Scythe.)